Gardiennage des sites ICPE , INB , RM, HRI
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Derniers sujets
Votez
www.meilleurduweb.com : Classement des meilleurs sites Web.
Sondage

La sécurité privé est un métier marginal sans avenir à cause :

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_lcap19%Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_rcap 19% [ 77 ]
Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_lcap19%Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_rcap 19% [ 74 ]
Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_lcap16%Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_rcap 16% [ 65 ]
Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_lcap19%Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_rcap 19% [ 77 ]
Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_lcap26%Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Vote_rcap 26% [ 102 ]

Total des votes : 395

Le Deal du moment : -20%
-20% Récupérateur à eau mural 300 ...
Voir le deal
79 €

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

+4
WarorPeace
Agnostique
Cixot
ilejeca
8 participants

Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par ilejeca Jeu 22 Oct - 21:49

La journaliste française Florence Beaugé interdite d'accès en Tunisie


TUNIS, 21 octobre -- La journaliste Florence Beaugé, chargée du desk Maghreb au journal "Le Monde", a été interdite d'accès au territoire tunisien, a-t-on appris mercredi de source officielle.

Dans un communiqué rendu public à Tunis, une source officielle tunisienne, a indiqué que " bien que la journaliste française ait été avisée au préalable qu'elle ne serait pas admise sur le territoire tunisien, l'intéressée a préféré se rendre mardi soir en Tunisie".

La journaliste Florence Beaugé , ajoute la même source, a été de ce fait refoulée a son arrivée à l'aéroport de Tunis.

Il s'agit là, affirme la source officielle tunisienne, "d'une décision souveraine prise par les autorités tunisiennes à l'égard d'une journaliste qui, outre des activités douteuses, a toujours fait preuve de malveillance patente à l'égard de la Tunisie et de partis pris systématiquement hostiles".

Il convient de noter que la journaliste française Florence Beaugé travaille au quotidien "Le Monde " depuis 2000. Elle est chargée de la couverture des pays du Maghreb au sein du service International.

Auparavant, elle a travaillé pendant quinze ans sur le Proche- Orient et le conflit israélo-palestinien.

ilejeca

Féminin Nombre de messages : 164
Age : 44
Points : 284
Date d'inscription : 27/10/2008

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Critiquer le président Ben Ali, un exercice risqué

Message par Cixot Ven 23 Oct - 9:38


22/10/2009 18:49
Critiquer le président Ben Ali, un exercice risqué


Les Tunisiens préféreraient que l’élection soit derrière eux, redoutant un nouveau score de potentat pour le chef de l’État

«Quand on parle de notre pays, on vante toujours le statut avancé de la femme, une particularité dans le monde arabe… Mais tout de suite, on ajoute : “quel dictateur, ce Ben Ali !”. Ces derniers temps, j’entendais de nouveaux commentaires : “Voilà le président tunisien qui se représente pour la cinquième fois. C’est sûr, il va se faire réélire comme les autres fois à 80 – 90 %, comme un vrai potentat du Tiers-Monde”. »

Le sociologue tunisien Ahmed Boukhari ne supporte plus ces images renvoyées par les médias occidentaux, en particulier français, de son pays, où affluent chaque année sept millions de touristes, un record au Maghreb.

Il en a honte. Pour lui. Pour son pays. Et aimerait, comme bon nombre de Tunisiens qui ne rient plus de ces chiffres, que l’élection présidentielle soit déjà derrière eux. Elle est présentée comme le troisième scrutin pluraliste sous Ben Ali. Mais les trois autres candidats sont de l’opposition parlementaire, des opposants « accrédités » par le Palais.

"Cette main de fer sur la politique dessert la Tunisie"
Deux dirigeants de l’opposition radicale, Mustapha Ben Jaafar et Ahmed Nejib Chebbi, ont été écartés de la course, le premier notamment pour n’avoir pas tenu un congrès où son parti l’aurait élu comme candidat, conformément à une loi de dernière minute. Une manière d’empêcher la libre parole en politique.

« On est ridicule. Cette main de fer sur la politique dessert la Tunisie. Elle fait de nous l’inverse de ce que le pouvoir veut : des opposants potentiels », s’exclame le sociologue. « Ahmed Boukhari » connaît les risques de parler ainsi ouvertement. Il a préféré se cacher derrière un pseudonyme. « Bienvenue au pays des pseudos » dit-il amer.

Le sociologue ne connaît cependant pas la dernière histoire arrivée à l’une des opposantes les plus célèbres, l’avocate Radhia Nasraoui, et son mari. Rien n’a filtré dans la presse tunisienne, et pour cause. L’avocate s’apprêtait à aller chercher un matin son mari, Hamma Hammami, à l’aéroport de Tunis. Elle a retrouvé les quatre pneus de sa voiture tailladés. Son époux a ensuite été encerclé dans l’aéroport par au moins vingt policiers en civil, puis battu.

La raison : Hamma Hammami, porte-parole du minuscule Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT) s’est permis de dénoncer sur France 24 – et surtout sur Al-Jazira, très regardée par les Tunisiens – la « mascarade électorale de la présidentielle », la répression, la corruption. D’où ces représailles.

"Ne pas troubler le sommeil politique des Tunisiens"
Il se confirme encore une fois qu’il est interdit de parler librement de l’élection présidentielle « afin de ne pas troubler le sommeil politique des Tunisiens », note acerbe Ali Cherfi, le marchand de journaux qui pourtant n’est pas un opposant. Simplement un « fou d’informations vraies et crédibles. C’est encore trop demander. »

Au Palais Bardo, le magnifique siège du Parlement tunisien, vestige ottoman rénové, l’un des plus jeunes députés, Sabhani Hafedi, 32 ans, s’étonne de n’être pas compris quand il dit : « Avec le président Ben Ali, c’en est fini de la présidence à vie qu’avait instaurée l’ancien chef de l’État, Habib Bourguiba. »

Mais n’est-ce pas la même chose ? « Non, répond-il, il y a un âge limite pour être candidat, 75 ans ! ». Le président Ben Ali a aujourd’hui 73 ans. Ce serait donc sa dernière présidentielle ? Rien n’est moins sûr.
Julia FICATIER

Critiquer le président Ben Ali, un exercice risqué
Cixot
Cixot
Moderateur
Moderateur

Masculin Nombre de messages : 782
Points : 1633
Date d'inscription : 01/09/2008

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Re: Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par Agnostique Ven 23 Oct - 14:05

nouvelobs.com - ‎Il y a 1 heure ‎
Des lecteurs nous ont signalé que plusieurs textes du journaliste, écrivain et opposant tunisien Taoufik Ben Brik publiés par Nouvelobs.com étaient régulièrement indisponibles pour les internautes se connectant depuis la Tunisie.

Agnostique

Masculin Nombre de messages : 346
Age : 59
Points : 680
Date d'inscription : 07/11/2008

Feuille de personnage
Estimation:

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Re: Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par WarorPeace Sam 24 Oct - 9:36

Deux rapports publiés, vendredi 23 octobre, par cinq ONG locales et Reporters sans frontières, dressent un sombre bilan de la démocratie en Tunisie, à l'avant-veille des élections présidentielle et législatives.

WarorPeace

Nombre de messages : 332
Points : 676
Date d'inscription : 25/10/2008

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Re: Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par Hri Secu Forum Sam 24 Oct - 15:54

Le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), dont le siège est à New York, dit avoir constaté une recrudescence des opérations d'intimidation et de harcèlement de journalistes à l'approche du scrutin.

"Nous condamnons cette vague d'intimidations, de détentions, et d'attaques contre des journalistes critiques", a déclaré dans un communiqué le coordinateur du CPJ pour le Proche-Orient et l'Afrique du Nord, Mohamed Abdel Dayem.

"Les pays véritablement démocratiques n'agressent pas physiquement, ne harcèlent pas et n'emprisonnent pas les journalistes", a-t-il ajouté.

Privés d'un large accès aux journaux et à la télévision, les partis d'opposition ont recours aux sites internet pour faire passer leur message. L'Union démocratique unioniste publie ainsi sur Facebook des photos et des vidéos de son secrétaire général, Ahmed Inoubli, candidat à la présidence.

Sur Facebook, certains journalistes s'échangent également des reportages vidéo sur des inondations ou des manifestations violentes ignorées par la télévision d'Etat.

On trouve sur certains blogs des satires de Ben Ali dont la publication serait impensable dans un journal traditionnel.

L'opposition vise avant tout les jeunes, principaux utilisateurs de la Toile et qui représentent près de la moitié des dix millions de Tunisiens. Environ 450.000 d'entre eux, âgés de 18 à 20 ans, pourront voter pour la première fois.

Conscientes de l'impact potentiel d'internet, les autorités ne sont pas en reste. Le RCD utilise Facebook pour rendre compte de la campagne du président et susciter des adhésions.

Le parti présidentiel a également créé trois sites louant le bilan de Ben Ali depuis 22 ans et se faisant l'écho des propos flatteurs à son égard de plusieurs personnalités étrangères.

Les opposants craignent cependant que la liberté relative dont ils jouissent sur internet ne soit menacée.

Le Parti démocrate progressiste (PDP), la principale formation d'opposition qui boycotte le double scrutin, a annoncé cette semaine l'arrestation d'un de ses militants, Zouhair Makhlouf. Ce dernier avait publié sur internet des informations sur la situation à Nabeul. Il sera jugé le 3 novembre pour diffamation.
source
Hri Secu Forum
Hri Secu Forum
HRI SECU
HRI SECU

Masculin Nombre de messages : 1105
Points : 1595
Date d'inscription : 30/08/2008

https://hri-secu.1fr1.net

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Re: Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par hri lyon Dim 25 Oct - 11:59

Critiqué pour les droits de l'homme, Ben Ali ménagé par l'Occident
Régulièrement critiqué par les défenseurs des droits de l'Homme, le président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, assuré d'être réélu le 25 octobre, jouit d'une certaine bienveillance des Occidentaux pour ses succès économiques et pour son rôle de "rempart" contre l'islamisme. En Tunisie, "il y a une violation permanente des droits de l'Homme", mais "comme ce n'est pas un régime hyper-sanglant, tout le monde s'en accommode", estime Sophie Bessis, chercheuse à l'Institut des Relations internationales et stratégiques (IRIS) à Paris.

hri lyon

Nombre de messages : 297
Points : 648
Date d'inscription : 01/09/2009

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Re: Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par Moon Wolf Mar 27 Oct - 10:15

Les Etats-Unis ont qualifié aujourd'hui de "préoccupante" la réélection la veille de Zine El Abidine Ben Ali à la présidence de la Tunisie, mettant en avant l'absence d'observateurs internationaux durant le scrutin

Moon Wolf

Nombre de messages : 377
Points : 746
Date d'inscription : 26/10/2008

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Re: Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par Alysse Ven 30 Oct - 7:04

Aujourd’hui, le 29 octobre, le journaliste Taoufik Ben Brik a été arrêté alors qu’il était convoqué à 10h pour la prétendue agression d’une femme dans la rue la semaine passée. Tout porte à croire qu’il s’agit d’une affaire montée de toutes pièces par les autorités pour inquiéter le journaliste, connu pour ses articles critiques à l’égard du président Ben Ali. Il a été transféré au centre de détention de Bouchoucha à Tunis. Il devrait être présenté demain devant un juge.
Le 28 octobre, vers 19h30, le journaliste indépendant Slim Boukhdhir a, quant à lui, été agressé par cinq hommes en civil dans le quartier du Bardo à Tunis, alors qu’il descendait de taxi pour rentrer à son domicile. Deux heures plus tôt, le journaliste avait été interviewé par la BBC pour discuter du rapport de Reporters sans frontières suite à la mission de l’organisation en Tunisie. Il a dénoncé l’impossibilité, pour les journalistes indépendants, de faire leur travail.
Slim Boukhdhir a été violemment poussé dans une voiture garée à proximité. Après lui avoir bandé les yeux, les hommes de main l’ont roué de coups, au visage et sur l’ensemble du corps, l’insultant et le menaçant ainsi que sa famille. Ils l’ont déshabillé. Il a également été menacé avec un couteau à cran d’arrêt. « Ils ont roulé longtemps, tellement longtemps que j’avais l’impression qu’on était à la forêt de Radis, à 6km de Tunis. J’avais le visage en feu tellement les coups pleuvaient », a conflié le journaliste.
Slim Boukhdhir a été relâché au niveau du parc du Belvédère, au nord de la ville, dépouillé de tous ses effets, vêtements, papiers, argent et téléphone. Il est parvenu à se rendre chez des amis qui l’ont conduit à l’hôpital. Bilan : quatorze jours de repos, fracture du nez, altération de la vision de l’œil gauche, hématomes sur le visage, les côtes, aux épaules, dans le dos et aux jambes. Il a déclaré son intention de porter plainte.
source
Alysse
Alysse

Féminin Nombre de messages : 383
Age : 40
Points : 778
Date d'inscription : 21/10/2008

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Re: Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par ilejeca Ven 27 Nov - 17:49


Ou est passé Taoufik Ben Brik ?

Personne ne sait ou est passé Taoufik Ben Brik. Depuis le jour du procès*, le 19 novembre, personne n’a pu le voir, ni sa famille ni ses avocats. Son épouse, Azza Zarrad, s’inquiète de l’état de santé de son mari, avec lequel elle ne peut entrer en contact. Il n’est « pas dans la prison. » C’est ce qu’ont affirmé les gardiens de la prison de Mornaguia, où il était incarcéré, aux deux avocats qui ont demandé à le voir. Ce vendredi 27 novembre, jour de l’Aïd, jour de visite spontanée, le même prétexte sera présenté pour empêcher de le voir.
Source et Suite

ilejeca

Féminin Nombre de messages : 164
Age : 44
Points : 284
Date d'inscription : 27/10/2008

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Re: Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par Hri Secu Forum Mer 2 Déc - 1:04


Reporters sans frontières dénonce le transfert de Taoufik Ben Brik à 130 km de chez lui


Reporters sans frontières a appris, le 29 novembre 2009, que Taoufik Ben Brik était désormais détenu à la prison de Siliana, à environ 130 km de son domicile de Tunis.

"Cette mesure n’a pour seul but que de rendre encore plus difficile la vie de Taoufik et de sa famille. Pourquoi le transférer dans cette prison si éloignée ? Sa femme, ses enfants et ses avocats vont avoir toute les peines du monde à lui rendre visite. Les autorités tunisiennes sont décidément prêtes à toutes les injustices. Après avoir condamné Taoufik Ben Brik sans raison, la justice lui impose des conditions d’éloignement injustifiées. C’est vraiment révoltant", a déclaré Jean-François Julliard, secrétaire général de Reporters sans frontières.

"En plus, les autorités ont attendu 10 jours, depuis l’audience du 19 novembre, pour informer sa famille de cette mesure. Là encore, ce harcèlement est insupportable. Depuis des jours déjà, des dizaines de policiers sont postés en permanence devant le domicile de Taoufik Ben Brik. Ses deux enfants sont terrorisés. Les diplomaties occidentales, à commencer par la France, doivent s’assurer que la famille de Taoufik Ben Brik ne risque rien. Le journaliste a collaboré pendant plusieurs années avec des médias français. Il serait temps de lui montrer plus de solidarité", a ajouté le secrétaire général.

Azza Zarrad, l’épouse de Taoufik Ben Brik, a déclaré en fin de journée : "A l’instant même, je viens d’apprendre par un simple coup de téléphone que mon mari a été transféré à plus de 200 km, loin de sa famille, dans la prison civile de Siliana. L’administration pénitentiaire a donc mis 11 jours pour m’informer du lieu exact où se trouve mon mari. Cette décision a été prise pour rendre difficile la visite de ses avocats et sa famille. (…) Quelqu’un frappe à ma porte, il se présente en tant que le commissaire de police d’Al-Manar. N’ayant pas confiance et de peur d’être tabassée, je refuse d’ouvrir la porte et j’exige un document officiel. Le commissaire se met à blasphémer et m’insulter. Mes enfants et ma mère sont terrorisés."

Taoufik Ben Brik, journaliste tunisien, a été condamné, le 26 novembre, à six mois de prison ferme, pour une prétendue agression.
Reporters sans frontières
Hri Secu Forum
Hri Secu Forum
HRI SECU
HRI SECU

Masculin Nombre de messages : 1105
Points : 1595
Date d'inscription : 30/08/2008

https://hri-secu.1fr1.net

Revenir en haut Aller en bas

Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition Empty Re: Tunisie : arrestation d'un journaliste de l'opposition

Message par Contenu sponsorisé


Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut

- Sujets similaires

 
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum