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Après son malaise, "repos relatif" pour Sarkozy, qui a quitté l'hôpital
Après son malaise, "repos relatif" pour Sarkozy, qui a quitté l'hôpital
PARIS, 27 juil 2009
Après son malaise, "repos relatif" pour Sarkozy, qui a quitté l'hôpital
Par AFP, publié le 27/07/2009 à 11:11 - mis à jour le 27/07/2009 à 12:25
PARIS, 27 juil 2009 - Le président Nicolas Sarkozy est sorti lundi à pied du Val-de-Grâce à Paris où il avait été hospitalisé la veille à la suite d'un malaise, et aucun traitement médical ne lui a été prescrit, si ce n'est "un repos relatif de quelques jours".
Sarkozy à sa sortie du Val de Grâce le 27 juillet 2009 C'est en marchant, main dans la main avec son épouse Carla Bruni-Sarkozy, que le chef de l'Etat, souriant, saluant les badauds et remerciant ses médecins, est sorti peu après 11H00 dans la cour de l'hôpital militaire du Val-de-Grâce (Ve arrondissement).
Le président ne s'est pas rendu à l'Elysée en sortant de l'hôpital. Interrogé par l'AFP, l'Elysée a indiqué que la destination de M. Sarkozy, qui "souhaite préserver son intimité de repos", serait diffusée "plus tard dans la journée".
Nicolas Sarkozy et son épouse Carla Bruni à la sortie de l'hôpital du Val de Grâce le 27 juillet 2009
Selon un communiqué de l'Elysée, il n'y a "pas de cause" ni de "conséquences cardiologiques" au "malaise lipothymique d'effort", ressenti par M. Sarkozy dimanche, alors qu'il faisait un footing dans le parc du château de Versailles jouxtant la Lanterne, où il aime passer certains de ses week-ends.Selon un cardiologue, la lipothymie est un des signes du malaise vagal, malaise plutôt bénin si les examens cardiologiques sont normaux. Patrick Balkany, ami du président, avait affirmé dimanche que le président avait été victime de ce type de malaise. Selon les médecins, ce genre d'incident peut se traduire par une brève perte de connaissance sans danger pour le patient. Toutefois, l'Elysée avait affirmé dans un communiqué dimanche que le président n'avait pas perdu connaissance.
Carla Sarkozy le 27 juillet 2009 suivant son mari à sa sortie du Val de Grâce le 27 juillet 2009 à Paris
"Aucun traitement médical n'a été prescrit" au chef de l'Etat, "un repos relatif de quelques jours lui a été conseillé", assure le communiqué de lundi. "Il est confirmé par ailleurs (bilan sanguin, électroencéphalogramme, IRM cérébrale) qu'il n'y a ni cause ni conséquence neurologique ou métabolique", ajoute la même source, qui parle d'un "malaise lipothymique d'effort soutenu par grande chaleur et sans perte de connaissance, dans un contexte de fatigue liée à une charge de travail importante".
"Dans ces conditions", le déplacement programmé mardi au Mont Saint-Michel sur le thème de la protection et de la valorisation du patrimoine de la France "est reporté à une date ultérieure", indique également l'Elysée. En revanche, M. Sarkozy "présidera le Conseil des ministres mercredi matin".
Les quelques personnalités (au moins deux ou trois) qui devaient être nommées avant mercredi secrétaires d'Etat, pourraient avoir à attendre fin août. Au Val-de-Grâce, où le Service de protection des hautes personnalités (SPHP) et des tireurs d'élite avaient pris pris position, le président s'est régulièrement enquis de l'actualité auprès de ses collaborateurs. Ces derniers lui ont assuré que "les choses étaient calmes".
Carla Bruni le 27 juillet 2009 au Val de Grâce à Paris
Le président Sarkozy a déjà commencé à suivre les conseils de "repos relatif" des médecins du Val-de-Grâce: c'est la ministre de l'Economie Christine Lagarde qui le remplaçait à midi pour la signature à l'Elysée d'un accord sur le crédit aux entreprises.
Et à la fin de la semaine, il devrait s'envoler pour le Cap Nègre (Var), pour trois semaines dans la résidence familiale de son épouse.
Des médias ont pointé "l'hyperactivité" de M. Sarkozy, certains titres s'interrogeant sur les implications politiques et institutionnelles de l'incident
http://www.lexpress.fr/actualites/1/apres-son-malaise-repos-relatif-pour-sarkozy-qui-a-quitte-l-hopital_776974.html
Après son malaise, "repos relatif" pour Sarkozy, qui a quitté l'hôpital
Par AFP, publié le 27/07/2009 à 11:11 - mis à jour le 27/07/2009 à 12:25
PARIS, 27 juil 2009 - Le président Nicolas Sarkozy est sorti lundi à pied du Val-de-Grâce à Paris où il avait été hospitalisé la veille à la suite d'un malaise, et aucun traitement médical ne lui a été prescrit, si ce n'est "un repos relatif de quelques jours".
Sarkozy à sa sortie du Val de Grâce le 27 juillet 2009 C'est en marchant, main dans la main avec son épouse Carla Bruni-Sarkozy, que le chef de l'Etat, souriant, saluant les badauds et remerciant ses médecins, est sorti peu après 11H00 dans la cour de l'hôpital militaire du Val-de-Grâce (Ve arrondissement).
Le président ne s'est pas rendu à l'Elysée en sortant de l'hôpital. Interrogé par l'AFP, l'Elysée a indiqué que la destination de M. Sarkozy, qui "souhaite préserver son intimité de repos", serait diffusée "plus tard dans la journée".
Nicolas Sarkozy et son épouse Carla Bruni à la sortie de l'hôpital du Val de Grâce le 27 juillet 2009
Selon un communiqué de l'Elysée, il n'y a "pas de cause" ni de "conséquences cardiologiques" au "malaise lipothymique d'effort", ressenti par M. Sarkozy dimanche, alors qu'il faisait un footing dans le parc du château de Versailles jouxtant la Lanterne, où il aime passer certains de ses week-ends.Selon un cardiologue, la lipothymie est un des signes du malaise vagal, malaise plutôt bénin si les examens cardiologiques sont normaux. Patrick Balkany, ami du président, avait affirmé dimanche que le président avait été victime de ce type de malaise. Selon les médecins, ce genre d'incident peut se traduire par une brève perte de connaissance sans danger pour le patient. Toutefois, l'Elysée avait affirmé dans un communiqué dimanche que le président n'avait pas perdu connaissance.
Carla Sarkozy le 27 juillet 2009 suivant son mari à sa sortie du Val de Grâce le 27 juillet 2009 à Paris
"Aucun traitement médical n'a été prescrit" au chef de l'Etat, "un repos relatif de quelques jours lui a été conseillé", assure le communiqué de lundi. "Il est confirmé par ailleurs (bilan sanguin, électroencéphalogramme, IRM cérébrale) qu'il n'y a ni cause ni conséquence neurologique ou métabolique", ajoute la même source, qui parle d'un "malaise lipothymique d'effort soutenu par grande chaleur et sans perte de connaissance, dans un contexte de fatigue liée à une charge de travail importante".
"Dans ces conditions", le déplacement programmé mardi au Mont Saint-Michel sur le thème de la protection et de la valorisation du patrimoine de la France "est reporté à une date ultérieure", indique également l'Elysée. En revanche, M. Sarkozy "présidera le Conseil des ministres mercredi matin".
Les quelques personnalités (au moins deux ou trois) qui devaient être nommées avant mercredi secrétaires d'Etat, pourraient avoir à attendre fin août. Au Val-de-Grâce, où le Service de protection des hautes personnalités (SPHP) et des tireurs d'élite avaient pris pris position, le président s'est régulièrement enquis de l'actualité auprès de ses collaborateurs. Ces derniers lui ont assuré que "les choses étaient calmes".
Carla Bruni le 27 juillet 2009 au Val de Grâce à Paris
Le président Sarkozy a déjà commencé à suivre les conseils de "repos relatif" des médecins du Val-de-Grâce: c'est la ministre de l'Economie Christine Lagarde qui le remplaçait à midi pour la signature à l'Elysée d'un accord sur le crédit aux entreprises.
Et à la fin de la semaine, il devrait s'envoler pour le Cap Nègre (Var), pour trois semaines dans la résidence familiale de son épouse.
Des médias ont pointé "l'hyperactivité" de M. Sarkozy, certains titres s'interrogeant sur les implications politiques et institutionnelles de l'incident
http://www.lexpress.fr/actualites/1/apres-son-malaise-repos-relatif-pour-sarkozy-qui-a-quitte-l-hopital_776974.html
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