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Meurtre de la voie ferrée : battu à mort pour rien

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Message par Moon Wolf Dim 15 Fév - 13:50


Enquête. Quatre suspects, dont une fille de 19 ans, devraient être déférés ce matin devant la justice.
C'est dans un squat du boulevard Déodat de Séverac que s'est noué le drame. La police y a effectué les prélèvements d'usage et interpellé les auteurs présumés.


Un mot de travers, une simple et banale réflexion ont suffi à mettre le feu aux poudres. Mansour Benzekri, 36 ans, a subi un incroyable déchaînement de violence dans un appartement squatté du boulevard Déodat-de-Séverac, pour un mot, une phrase de trop. « Un crime de la jeunesse et de l'alcoolisme », précise une source du dossier. Battu et torturé, cet homme qui avait ses repères entre la Faourette et Bagatelle, aurait succombé, dans la nuit du 6 au 7 février, à une déferlante de coups. Parmi les cinq suspects arrêtés mercredi matin dans cet appartement, par les policiers de la PJ, quatre personnes étaient toujours en garde à vue hier. L'une d'elles a été laissée libre. Ce quatuor, trois garçons et une fille âgés de 19 à 25 ans, sans domicile fixe, devraient être déférés ce matin devant la justice qui doit à présent établir les différents degrés de responsabilités dans cette affaire de meurtre. Aujourd'hui, le scénario qui a conduit à cet acharnement se dessine peu à peu.

BEAUCOUP DE BIÈRES

Jeudi 5 février, en fin d'après-midi, Mansour Benzekri croise sur le parking d'un hypermarché, non loin des Arènes, un groupe de SDF dont une personne qu'il connaît. Après quelques bières consommées sur place, le groupe rejoint le squat du boulevard Déodat-de-Séverac. Dans cet appartement bâti sur deux niveaux et occupé depuis plusieurs semaines, les jeunes SDF et Mansour Benzekri poursuivent leur soirée. Entre absorption d'alcool et consommation de stupéfiants, les discussions sont parfois crues. Les échanges un peu vifs. Le ton serait alors monté pour des broutilles, après une phrase malheureuse prononcée par Mansour Benzekri. Des mots qui auraient agi comme un véritable détonateur sur le groupe de marginaux passablement avinés. Conséquences : « l'invité » est tabassé, un vrai déchaînement collectif que rien ne semblait arrêter. Battue à mort à l'aide de nombreux objets dont le manche d'une hachette, la victime succombe à une hémorragie cérébrale. C'est dans la malle arrière d'une Twingo en feu, volée et abandonnée sur la voie ferrée, entre la rue Fieux et la rue de la Faourette, que le corps de la victime est découvert par les pompiers et les policiers, dans la nuit à 3 heures du matin. Les quatre suspects originaires de Vaulx-en-Velin, Calais, Evreux et du Var, pourraient être mis en examen et écroués dès ce matin.
Un squat trois étoiles

Eau chaude, électricité, télévision et même des canapés… Chambre d'hôtel ? Non, un squat. C'est ici, dans cet appartement, en peu en recul du boulevard Déodat-de-Séverac, que le groupe de marginaux soupçonné du meurtre de Mansour Benzekri avait élu domicile depuis plusieurs semaines. Sur deux étages, des matelas, des canapés sont figés dans ce logement vétuste et pas très bien entretenu. Un nid très discret où chacun avait sa chambre. Dans ce lieu de passage, les marginaux avaient leurs repères que l'alcool et les stupéfiants ont, semble-t-il, annihilés.
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Moon Wolf

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