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Message par Braveheart Sam 9 Fév - 19:00

Les détenus deviennent des salariés comme les autres

LeParisien.fr – il y a 7 heures


La décision, rendue hier, par le conseil de prud’hommes de Paris, pourrait bien être une révolution quant aux droits des prisonniers qui travaillent en détention. C’est en tout cas ce qu’espèrent les défenseurs de Marilyn. Hier, les juges ont reconnu que cette détenue de la maison d’arrêt de Versailles, emprisonnée pour avoir tué son mari violent en 2010 à Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine), avait bien été licenciée abusivement par son ancien employeur, MKT Sociétal, une plate-forme d’appels pour prisonniers aujourd’hui en liquidation judiciaire.

Selon l’énoncé de la décision, la société MKT, par la voie de son mandataire, est reconnue comme « employeur » et a été condamnée à verser à la détenue plus de 6000 € en rappel de salaires, congés payés, préavis de licenciement et dommages et intérêts pour rupture abusive de contrat de travail. Une victoire pour Marylin, mais surtout une première pour le milieu carcéral.

L’affaire remonte à 2010. La jeune femme, derrière les barreaux, commence à travailler pour le centre d’appels et mène notamment des enquêtes de satisfaction téléphonique pour divers clients. Mais elle cède à la tentation et appelle sa sœur qu’elle voit rarement. Les appels personnels étant interdits, Marilyn est remerciée par la société. Plus précisément « déclassée », sans indemnité, ni procédure de licenciement.

Le Code de procédure pénal dispose que, dans le milieu carcéral, le droit du travail ne s’applique pas. Seul un « engagement » définit le salaire que touchera le détenu : « Et encore! Les rémunérations sont, dans les faits, souvent inférieures aux 45% du smic exigés. Et il n’existe aucune garantie juridique, ni sur la durée ou la régularité du travail des prisonniers. Le droit du travail privé ne s’applique pas dans les prisons », explique-t-on à l’Observatoire international des prisons. Les avocats de Marylin saisissent alors les prud’hommes, estimant qu’il s’agit d’un licenciement déguisé. Et demandent à la justice de faire reconnaître que le (...) Lire la suite sur LeParisien.fr


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