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Kaboul: Un soldat français tué

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Message par Hri Secu Forum Sam 1 Aoû - 23:16

Un
militaire français a été tué en Afghanistan, a annoncé samedi
après-midi l'Elysée. Dans un communiqué, le palais présidentiel précise
que deux autres soldats ont été blessés lors d'une fusillade opposant
l'armée française à des rebelles. Il s'agit du 29e militaire français
tué sur le territoire afghan

http://www.lejdd.fr/cmc/international/200931/kaboul-un-soldat-francais-tue_235615.html
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Kaboul: Un soldat français tué Empty En Afghanistan, la guerre s'étend aux zones habitées

Message par Braveheart Dim 2 Aoû - 5:26

En Afghanistan, la guerre
s'étend aux zones habitées

De notre correspondante à New Delhi, Marie-France Calle
31/07/2009 | Mise à jour : 22:57

À vingt jours de l'élection présidentielle, le bilan des victimes est de plus en plus lourd. Plus de 1 000 civils depuis le début de l'annéeet 75 soldats étrangers dans le seul mois de juillet.

L'année 2009, cruciale pour l'Afghanistan de l'après-talibans, s'annonce comme l'une des plus meurtrières. vendredi encore, deux attaques menées par les insurgés dans l'ouest du pays contre un convoi de camions-citernes de l'Otan escorté par des gardes privés ont entraîné la mort de quatre soldats afghans et blessé très gravement 13 civils. Avec ce climat d'extrême violence, dans ce pays laminé par huit ans de guerre et rongé par la corruption, l'élection présidentielle du 20 août, plus qu'un exercice démocratique, fait plutôt figure de test pour la nouvelle stratégie américaine.

Soixante-quinze soldats étrangers auraient été tués en Afghanistan durant le seul mois de juillet. Cela représente autant, sinon plus, de pertes qu'en une année entière, sur la période allant de 2001 à 2005. Les Américains et les Britanniques paient, de loin, le plus lourd tribut. Trente-neuf soldats américains sont morts au cours du mois dernier, battant le triste record de 26 tués, enregistré en septembre 2008. Quant aux Britanniques, 22 des leurs sont tombés en juillet. Et, avec un total de 191 morts depuis 2001, le conflit afghan est devenu plus meurtrier pour les Anglais que la guerre des Malouines, en 1982, contre l'Argentine ; ou même l'Irak. Cette récente hémorragie des troupes américaines et britanniques s'explique par les deux offensives lancées entre juin et juillet dans la province du Helmand, au sud de l'Afghanistan. Alors que la première phase de «Griffe de panthère», l'opération des militaires anglais, s'est achevée la semaine dernière, celle des Américains, surnommée «Poignard» et entamée le 2 juillet, se poursuit. Reconquérir le Helmand ne sera pas une mince affaire ; le sécuriser, encore moins. Il s'agit de l'une des régions les plus «talibanisées» du pays ; celle, aussi, où le commerce de l'opium est le plus lucratif.
Une crédibilité écornée

Dès son arrivée à la Maison-Blanche, en janvier, Barack Obama avait annoncé un renforcement du contingent américain en Afghanistan : 21 000 soldats supplémentaires sont appelés à rejoindre les quelque 40 000 déjà déployés sur le terrain. Une partie d'entre eux se battent aujourd'hui dans le Helmand. Dans le même temps, le président américain avait défini la nouvelle stratégie. En finir une fois pour toutes avec les talibans et al-Qaida dans le pays. Tel est, certes, toujours l'objectif. Mais pour qu'il soit pleinement rempli, le «tout-militaire» n'est pas suffisant, avait expliqué Obama. Soulignant qu'il est impératif de former au plus vite les forces de sécurité afghanes ; de soutenir le gouvernement central à Kaboul, d'une faiblesse extrême ; d'assurer, enfin, une sécurité durable à la population.

Dans ce contexte, le rapport que vient de publier la Mission d'assistance des Nations unies en Afghanistan n'est guère encourageant. Le conflit se déplacerait de plus en plus vers les zones habitées, et le nombre de victimes civiles aurait, de ce fait, augmenté de 24 % sur les six premiers mois de l'année par rapport à la même période en 2008.

Reste que si les Afghans sont empêchés de se rendre aux urnes en raison de la violence, la crédibilité du futur chef d'État sera bien écornée. Or, aux termes de la Constitution afghane, ses pouvoirs sont énormes. En janvier 2004, l'Afghanistan s'est doté d'un régime présidentiel fort, «à l'américaine». À l'automne de la même année, Hamid Karzaï avait été élu au suffrage universel avec 55,4 % des voix. Candidat à sa propre succession, le président sortant a vu sa cote de popularité fondre à vue d'œil au cours de son mandat

http://www.lefigaro.fr/international/2009/08/01/01003-20090801ARTFIG00128-en-afghanistan-la-guerre-s-etend-aux-zones-habitees-.php
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Kaboul: Un soldat français tué Empty APRÈS LA MORT DU 29E SOLDAT FRANÇAIS Faut-il rester en Afghanistan ?

Message par Braveheart Dim 2 Aoû - 13:11

APRÈS LA MORT DU 29E SOLDAT FRANÇAIS
Faut-il rester en Afghanistan ?


Publié le 02/08/2009 à 11:42 - Modifié le 02/08/2009 à 12:08 Le Point.fr
Par Jean Guisnel

Faut-il rester en Afghanistan ?

À moins de trois semaines de l'élection présidentielle en Afghanistan, l'ISAF a annoncé dimanche que ce n'était pas quatre, mais six soldats étrangers qui sont morts hier en Afghanistan , dans différentes attaques conduites par les insurgés. Le jeune Anthony Bodin, 22 ans, caporal au 3e RIMa de Vannes, dont l'identité est révélée ce matin par le quotidien Ouest-France , a été tué aux abords de la localité de Ghayne, alors qu'une opération "civilo-militaire" avait été engagée par le GTIA Kapisa . Il est le vingt-neuvième Français mort de ce conflit. Si ces décès n'atteignent pas des niveaux rencontrés dans d'autres guerres, il n'en reste pas moins que la question se pose : la France doit-elle continuer d'envoyer des soldats dans ce pays ?

Le fait est que la présence de plus de 100.000 soldats étrangers engagés dans deux opérations - celle de l'ISAF sous conduite de l'Otan et Enduring Freedom sous conduite américaine - n'a pas permis de remplir les objectifs que leur ont fixés les différentes capitales ? Rappelons que ces objectifs consistent à faire entrer l'Afghanistan dans la démocratie, à développer des structures étatiques fiables et pérennes, à favoriser les droits de l'homme, et spécifiquement ceux des femmes, à d'empêcher que ce pays ne retombe aux mains des talibans et ne redevienne la base arrière du terrorisme international. Ce projet n'est pas exclusivement celui de la France, mais celui de la quasi-totalité des États démocratiques, et singulièrement de l'Europe puisque tous les pays de l'Union, sauf Malte, sont présents sur place d'une façon ou d'une autre. Notre pays ne compte d'ailleurs pas parmi ceux qui font l'effort militaire le plus important en Afghanistan. Au sein de l'ISAF, la France déploie 3.000 soldats, moins que les États-Unis (26.000), le Royaume-Uni (9.000), l'Italie (3.600) et l'Allemagne (3.400).

À Paris, deux attitudes peuvent être entendues dans les cercles dirigeants. La première est celle que le président de la République a évoquée hier, dans le communiqué annonçant le décès du jeune caporal : les Français sont "au service de la paix et de la sécurité du peuple afghan", à ses côtés "contre l'obscurantisme et le terrorisme". Mais en privé, dans les cercles proches de l'Élysée qui réfléchissent à l'avenir de la présence française en Afghanistan, on évoque désormais une situation "intenable", mais aussi "inutile", en expliquant que ce n'est plus en Afghanistan que se trouve "le pire danger", mais au Pakistan. Il n'y a cependant pas de raison pour que ce discours franchisse le stade des réflexions confidentielles, et encore moins pour que celles-ci conduisent à un revirement unilatéral français, impensable à ce stade.

Une victoire militaire n'est plus à l'ordre du jour

On notera d'ailleurs que sur ces questions, les débats sont figés et n'évoluent plus. Un retour sur celui du 1er avril 2008 à l'Assemblée nationale est éclairant à cet égard, tout comme celui du 22 septembre de la même année, qui a fait suite à l'embuscade d'Uzbin. Les parlementaires ont pu apparaître divisés sur la question, au point de donner l'impression de briser une forme de consensus autour des interventions extérieures de l'armée française. Mais quand le président du groupe socialiste Jean-Marc Ayrault affirmait que la situation sur le terrain se détériorait gravement, il n'avait pas tort : "Au plan militaire, les combattants talibans, qui avaient été rejetés dans les zones tribales frontalières de l'Afghanistan et du Pakistan, ont regagné près d'un tiers du territoire, jusqu'à s'approcher des portes de Kaboul. Les troupes de la coalition sont harcelées dans une guérilla de plus en plus meurtrière (...) mais le plus grave est le retournement progressif de la population afghane. Accueillies comme des libérateurs, il y a sept ans, les forces alliées sont de plus en plus souvent perçues comme des occupants indésirables."

Dans un rapport publié le 29 juin dernier , les députés Jean Glanavy (PS) et Henry Plagnol (UMP) notent désormais qu'une victoire militaire n'est plus à l'ordre du jour : "De manière générale, le terrain et les liens, multiples et étroits, qui unissent les insurgés et la population rendent illusoire toute victoire strictement militaire en Afghanistan. Dès lors, les troupes internationales doivent devenir une force d'accompagnement des autorités afghanes, avant que ces dernières ne puissent reprendre la main sur l'ensemble de leur territoire. L'action de la coalition doit permettre d'instaurer un rapport de force favorable au gouvernement et à ses alliés, afin de réussir dans les deux autres domaines indispensables à la stabilisation durable de l'Afghanistan : l'action humanitaire, et le processus, politique, de réconciliation nationale." Sauf que cela risque de durer une éternité ! Bien sûr, Paris fait comme les autres pays, et arrose l'Afghanistan de subventions et monte des projets d'aide. C'est même l'une des tâches du représentant spécial de la France pour l'Afghanistan et le Pakistan, Thierry Mariani , qui vient de succéder à Pierre Lellouche, entré au gouvernement. Mais les résultats ne sont pas pour demain...

À Londres, le débat est tout aussi vif. En juillet, les troupes britanniques ont perdu vingt soldats, et un rapport parlementaire publié ce matin même se montre extrêmement critique sur les choix politiques du gouvernement, de même que sur les options militaires retenues. Mais sa condamnation de l'échec est sans appel quand il évoque avec accablement les pratiques de la classe politique afghane. Celle-là même que la présence des troupes étrangères est pourtant censée soutenir et conduire à des pratiques démocratiques : "Près de huit ans après l'engagement de la communauté internationale en Afghanistan, pratiquement aucun progrès n'a été fait pour régler le problème endémique de la corruption, qui devient même souvent pire qu'avant. Les engagements politiques, les plans d'action et toutes les stratégies n'auront que peu d'utilité s'ils ne sont pas accompagnés de la volonté du président et du gouvernement afghan de changer les choses et de combattre la corruption au niveau le plus élevé."

http://www.lepoint.fr/actualites-monde/2009-08-02/apres-la-mort-du-29e-soldat-francais-faut-il-rester-en-afghanistan/1648/0/366386
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