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Le Pentagone déploie ses bombardiers B2 en Corée

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Message par Braveheart Jeu 28 Mar - 16:38


Le Pentagone déploie ses bombardiers B2 en Corée


Publié le 28/03/2013 à 11:48

Face aux menaces répétées de Pyongyang, le Pentagone ne laisse pas oublier sa puissance. Pour la première fois, les États-Unis ont annoncé le déploiement de bombardiers stratégiques furtifs B2 dans le ciel coréen. Deux Silent Bomber B2 furtifs ont décollé ce jeudi de leur base de Whiteman dans le Missouri en direction de la péninsule pour effectuer un exercice de largage de munitions factices au-dessus d'un champ de tir en Corée du Sud avant de rentrer au bercail, effectuant plus de 10.000 km de vol. Ces immenses engins volants aux allures de boomerang noir bourrés de haute technologie sont considérés comme l'arme la plus avancée de l'US Air Force. Réputés indétectables, ils peuvent emporter jusqu'à 18 tonnes d'armement conventionnel ou nucléaire, dont seize bombes de 900 kilos guidées par satellite ou huit GBU-37 antibunker. «Cette mission démontre la capacité des États-Unis à conduire à volonté des frappes précises et à longue portée», souligne un communiqué des forces américaines basées en Corée du Sud (USFK). Un avertissement sans frais à destination du jeune leader nord-coréen, dont le régime a menacé, il y a deux jours, de frapper les bases américaines dans le Pacifique.

Cette démonstration de force sans précédent sur la péninsule illustre l'inquiétude des stratèges américains face à la montée des tensions depuis le dernier essai nucléaire nord-coréen conduit le 12 février. Après le déploiement de bombardiers stratégiques B52 la semaine dernière, l'envoi de B2 capables de porter l'arme nucléaire vise à réaffirmer l'efficacité du parapluie atomique de Washington, à rassurer l'allié sud-coréen et à couper l'herbe sous le pied aux militants de Séoul qui plaident pour un retour à l'arme atomique sur la péninsule.


La veille, Pyongyang avait coupé la ligne de communication militaire avec le Sud, qui doit permettre de prévenir des dérapages le long de la DMZ, la frontière minée séparant en deux la péninsule depuis 1953. Dans un climat de mobilisation contre une invasion «impérialiste» imminente, selon une propagande savamment orchestrée, le dirigeant Kim Jong-un multiplie les visites des unités militaires. Et la population doit régulièrement descendre dans des abris aériens pour participer à des exercices à travers tout le pays, rapporte le Daily NK, un site d'information ayant des sources clandestines dans le pays.
Un plan conjoint d'attaque

Séoul et Washington se sont mis d'accord sur un plan conjoint de contre-attaque en cas de provocation de grande ampleur, tel le bombardement de l'île de Yeonpyeong en novembre 2010 qui avait fait quatre morts. Selon ce plan, l'armée sud-coréenne commandera la réplique, en consultation avec Washington et pourrait demander le soutien des forces américaines. «Ce mécanisme de consultation est un soulagement pour les Américains qui redoutent que le Sud ne réagisse au quart de tour à une provocation et ne déclenche une escalade», confie une source diplomatique occidentale dans la région. Hier, un incident le long de la DMZ a illustré le risque de dérapage dans ce climat de tension extrême: détectant un objet non identifié le long des barbelés, un soldat du Sud a dégoupillé une grenade.

Néanmoins, les experts doutent que le Nord tente une opération majeure durant l'exercice américano-sud-coréen «Foal Eagle», qui se conclut fin avril. Ils mettent également en doute les capacités du Nord à mettre à exécution sa menace de frappe contre les bases américaines de Guam et d'Hawaï, à plusieurs milliers de kilomètres de la péninsule. «La Corée du Nord a des missiles courte et moyenne portée, capables de compliquer la situation sur la péninsule, voire au Japon, mais nous n'avons aucune preuve que des missiles longue portée puissent frapper le territoire américain, Guam ou Hawaï», explique James Hardy, expert pour la revue Jane's Defence Weekly. Dans ce contexte, Pyongyang pourrait jouer la carte de l'attaque «asymétrique», à l'image du torpillage surprise de la corvette sud-coréenne Cheonan , il y a trois ans, et dont le Nord nie toujours la responsabilité.
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